La marmathérapie, tout comme l’Ayurvéda, remonte à 5000 ans et est l’ancêtre de l’acupuncture, originaire du sud de l’Inde. Initialement utilisée dans les arts martiaux pour blesser ou neutraliser un adversaire, cette science vise principalement à équilibrer les trois doshas en médecine.
Le corps humain est traversé par différents centres d’énergie, les chakras, et par 72 000 nadis, des canaux subtils qui transportent le prana (énergie vitale) des chakras vers les divers points du corps. Parmi eux, les 107 points marmas, véritables intersections des nadis, sont des zones sensibles où se rencontrent le corps, la matière et la conscience. Le terme “marma” signifie d’ailleurs “secret” ou “caché”.
La marmathérapie a pour objectif de faire circuler le prana à travers ces points et de débloquer ou relancer son flux. En manipulant ces zones avec prudence et précision, principalement situées sur la tête et les membres, on peut atteindre un rééquilibrage énergétique profond et durable.
Thérapeutique et
Intrigante
Selon l’Ayurveda, les émotions sont liées à des organes spécifiques et à des points Marma (points vitaux). Par exemple, le foie est associé à la colère, les reins à la peur et à l’anxiété, et le cœur à la douleur et aux inquiétudes. Une sensibilité ou une tension ressentie sur les points marma peut indiquer un déséquilibre de l’organe correspondant ou un déséquilibre émotionnel. Par exemple, le marma Yakrut peut être sensible si la colère non résolue est logée dans le foie. La douleur ressentie dans un point vital peut être due à une perte soudaine de soutien ou à un sentiment d’instabilité.
Liens entre émotions et organes :
©Droits d'auteur. Tous droits réservés.
Nous avons besoin de votre consentement pour charger les traductions
Nous utilisons un service tiers pour traduire le contenu du site web qui peut collecter des données sur votre activité. Veuillez consulter les détails dans la politique de confidentialité et accepter le service pour voir les traductions.